Théâtre  l'Escapade     193, avenue de Scheut - 1070 Anderlecht - Tél : 02/771.76.45

Sommaire   Qui sommes-nous ?   Programme   Réservation   Photos   Historique   Avis de recherche   Contact   Liens   Vos réactions

Arnaud SottiauxCarmelo MiragliaColette StassartDanielle LebrunDidier MilisDominique GhysselinckxDominique VeraytElise BroyardIngrid BrasseurJean-Marie-RigauxMarc LambergMarianne Braconnier
Marie-Laure de BehogneOlivier BauwelinckxPatricia BernardPhilippe MacaPierre ChalsègePierre RoosensStéphane De VylderThierry MoulartVéronique PiercotVincent Van GeemXavier Graindorge
Xavier GraindorgeXavier Graindorge

Le théâtre, pour moi, c’est le contact avec le public, la possibilité de « jouer » quelqu’un d’autre, mais aussi un rêve d’enfant : l’atmosphère de la scène, les projecteurs, la… trouille… aussi. A propos de « jouer quelqu’un d’autre », le personnage de Georges dans Les portes claquent a été un régal : pour moi qui suis plutôt extraverti, interpréter un jeune homme super-coincé, amoureux transi, m’a fait découvrir des attitudes qui m’étaient  étrangères.

Mon « passé » théâtral est fort court : quelques scènes à l’école primaire et secondaire et puis le grand bonheur, par le hasard d’une rencontre, de me retrouver à « L’Escapade », en policier, dans La brune que voilà. D’autres personnages ? Monsieur Bonnefoy, dans Le malade imaginaire et le bonheur dangereux de dire la langue classique, parfaite de Molière, et… Nestor Van Yperzeele, le « footbalist », amoureux « sur » Mademoiselle Léontine Coppenolle. Là, une réelle partie de plaisir, de fous rires, avec une pensée émue aux « grands » qui avaient tenu ce rôle dans le passé. Et… le bonheur dangereux de dire la langue bruxelloise, goûteuse de Van Stalle et d’Hanswijck.

Le théâtre ? Une belle histoire qui m’attire depuis toujours..

(photo : Dernière volonté / décembre 2008)